*Après une demi-heure, le mur semblait juste détruit. Les traces de sang avaient été nettoyés, les retailles de vitres et autres objets avaient été ramassés. Rekishi avait senti plusieurs fois des yeux se tourner vers lui, mais c'était bien normal. Il rangea les outils et en prit d'autres, pour reconstruire le mur. Il commença à placer les briques l'une par dessus l'autre.*
C'est vraiment pas le genre de missions que j'aime... Et moi qui croyait que ce genre de quête n'était que des missions de rang D. Et en plus, n'est-ce pas comme ranger une grande maison?
*Il continuait à replacer les briques lorsqu'il entendit un cri venant d'en dehors. Il sauta au dessus des briques sans en accrocher une et regarda autour. Il y avait une personne portant un fusil dans les mains, qui avait prit en otage un homme. Un autre homme se tenait devant lui, qui semblait hésiter. L'homme au fusil ne semblait pas avoir remarqué Rekishi. Parfait! Il leva un bras vers l'homme, puis ferma sa main. Il bougea son bras comme s'il voulait lancer un objet en arrière. Le fusil de l'homme revola vers Rekishi. C'était son sort de lévitation. Il utilisa ensuite son sors de téléportation pour apparaître derrière l'homme qui tenait le fusil, sortit une de ses dagues et le lui mit au cou*
"Rekishi: Une façon si lâche d'obtenir ce que tu veux...
Criminel: Lachez-moi!
Rekishi: Et pourquoi donc? Qu'allez-vous faire si je ne te lâche pas?
Criminel: Je vous tuerai!"
*Rekishi l'assoma. Aucun intérêt à continuer la conversation. Les deux victimes le regarda, encore effrayé. Étais-ce la première fois qu'il voyait de la magie? C'était souvent le cas pour les citoyens. Ou bien, c'était son apparence mystérieux qui leur faisait peur. Peu importe. Une des deux victimes essaya de dire quelque chose, mais sa gorge semblait trop serré pour parler. Les deux hommes partirent en courant. Il prit le corps du criminel et rentra dans la taverne. Tous les regards se ruèrent vers lui. Bien normal, il faudrait ne pas être curieux du tout pour ne pas lancer un regard. Il alla au téléphone et composa le numéro de la police. Après leur avoir dit la situation, il attacha l'homme avec une corde qu'il avait gardé dans ses accessoires et revint au travail.*